Archives de Catégorie: Féminisme

Des couilles dans le potage

Chronique parue dans le n°64 du magazine Causeur (janvier 2019)

 

soupe genrée

 

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Classé dans Féminisme, Polémiques

La faute à Dorcel ou la faute à Darwin ?

 

Article paru dans le n°175 (décembre 2018-janvier 2019) de la revue Eléments

titre Darbois

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Cet article a entrainé un droit de réponse de Lounès Darbois :

titre réponse Darbois

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Classé dans Féminisme, Polémiques

Les hommes sont-ils obsolètes ?

Chronique parue dans le n°175 (décembre 2018-janvier 2019) de la revue Eléments

Strauch

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Classé dans Economie, Féminisme

Parution du livre collectif « Pourquoi combattre ? »

 

Pourquoi combattre

 

Cliquez sur l’image pour accéder à la présentation du livre sur le site du Cercle Aristote !

 

Ouvrage réunissant de nombreuses contributions et paru sous la direction de Pierre-Yves Rougeyron. Le lecteur y trouvera notamment un texte de David L’Epée sur la notion de genre.

 

Auteurs ayant participé à ce livre : Luc-Olivier d’Algange, Philippe Arondel, Erick Audouard, Thomas Arrighi, Romain Bessonnet, Françoise Bonardel, Bernard Bourdin, Yves Branca, Alberto Buela, Leonardo Castellani,Hélène Clément-Pitiot, Denis Collin, Philippe Conrad, Vincent Coussedière, Charles Coutel, Alexandre Dorna, David L’Epée, Philippe Forget, Gabriel Galice, Eric Gueguen, Christian Harbulot, Alexandre Lande,  Julien Funnaro, Sébastien Gaboulaud, Jean-Louis Harouel, Laurent Henninger, Véronique Hervouet, Roland Hureaux, François-Bernard Huyghe, Arnaud Imatz, Leo Imbert, Hervé Juvin, Richard Labévière, Jean-Gérard Lapacherie, John Laughland, Lucas Leroux, Pierre Magnard, Rémi Magott, Kostas Mavrakis, Philippe Murer, Charles Onana, Norman Palma, Baptiste Rappin, Bertrand Renouvin, Luc Roche, Claude Rochet,   Pierre Yves Rougeyron, Alberto Scotti, Pascal Sigoda, Rémi Soulié, Mustapha Suna, Jean-François Susbielle, Guillaume Tahar, ​Christian Teyssandier, Pierre Le Vigan

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La République des mâles

 

Article paru dans le n°174 (octobre-novembre 2018) de la revue Eléments

 

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Classé dans Féminisme, Histoire, Polémiques

Splendeurs et misères de l’érotisme français

 

Article paru dans le n°173 (août-septembre 2018) de la revue Eléments

 

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Classé dans Cinéma, Féminisme, Polémiques

La Révolution française fut-elle une contre-révolution sexuelle ?

 

 

Les féministes françaises, souvent incorporées avec armes et bagages dans le sillage de la gauche ou du moins du camp progressiste, et donc inscrites dans l’histoire de ce camp, éprouvent de vraies difficultés à articuler une critique de la Révolution française d’un point de vue féministe. Elles auraient l’impression, ce faisant, de s’en prendre à leur propre camp (le camp du progrès) et de faire ainsi le jeu de la réaction. Par ce qu’elles pensent être une fidélité à l’histoire des principes d’émancipation, elles ne voient pas qu’elles en viennent à entrer en contradiction avec ce qui devrait être le cœur de leur engagement : la cause des femmes. En pointant ce malentendu, il ne s’agit évidemment pas de faire le procès de la Révolution, seulement d’interroger cette croyance dogmatique en un sens continu de l’histoire dans lequel la liberté serait nécessairement toujours plus grande et plus entière dans le présent que dans le passé.

Extrait de l’émission Le Plus d’Eléments du 20 septembre 2018 sur TV Libertés

 

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Classé dans Démocratie, Féminisme, Histoire, Vidéos

Olivia Gazalé : le mythe de la virilité

 

Chronique parue dans le n°173 (août-septembre 2018) de la revue Eléments

 

Olivia Gazalé

 

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Classé dans Féminisme, Histoire

A la découverte des nouvelles démocraties illibérales

Dans ce nouvel épisode de l’émission Le Plus d’Eléments, Pascal Eysseric, Thomas Hennetier, David L’Epée, Ludovic Maubreuil et Fabien Niezgoda débattent de l’illibéralisme, de l’art de la guerre au Moyen-Âge, du statut des femmes sous la Révolution française et du cinéma de Sergio Leone.

 

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Classé dans Choses de l'Est, Cinéma, Démocratie, Féminisme, Histoire

Face au nouvel ordre moral : critique et dérision

Conférence de David L’Epée donnée à Bordeaux le 19 mai à l’invitation du Cercle Rébellion

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David L’Epée s’est penché sur la mutation puritaine du néoféminisme. Annoncée sous le titre Face au nouvel ordre moral : critique et dérision, son intervention s’est ouverte par une réflexion sur l’humour, devenu ces derniers temps une des cibles prioritaires de la pénalisation exercée, avec le soutien des pouvoirs (principalement politique et médiatique), par les apôtres de la déconstruction. L’esprit de sérieux qui domine aujourd’hui, la défiance sourcilleuse qui règne envers toute forme d’ironie et de second degré appelle de la part des gens ordinaires un grand rire libérateur, un rire qui, loin d’être un simple échappatoire, se présente aussi désormais comme une forme de résistance. Revenant aux sources idéologiques plus anciennes de ce tournant puritain, l’orateur a démontré que cette influence fâcheuse nous venait, depuis plusieurs décennies, du monde anglo-saxon et des pays scandinaves par la médiation de certains courants universitaires. Nouvelle résurgence de la vieille pudibonderie victorienne, ce néo-féminisme nordique se caractérise par une forme aiguë de somatophobie (haine du corps) qui, après s’en être pris à l’homme au nom de la lutte contre le patriarcat et la phallocratie, s’est ensuite retournée contre la femme au nom de la négation du donné naturel et d’un certain mépris pour une féminité vue comme nécessairement aliénante. Sans surprise, c’est également de ces territoires-là que nous viennent toute une série de mesures répressives (judiciarisation extrême des rapports hommes-femmes, appels à la délation, censure, réécriture des ouvrages scolaires, épuration du patrimoine littéraire et cinématographique, tentative de rééducation des esprits indociles, etc.). Ces mesures sont portées par des idéologues qui, avec la bénédiction des autorités, tentent de s’imposer en France à grand renfort de nouvelles lois liberticides, soutenus dans leur entreprise par les instituts d’études genre et les subventions de l’Union européenne.

Illustrant ses propos avec une revue de presse éloquente d’événements récents dont le caractère ubuesque pourrait prêter à rire (ce que n’a pas manqué de faire le public), David L’Epée s’est proposé de décrypter ce qui se cache derrière les nouveaux anglicismes utilisés par les journalistes : no-platforming, consent theory, sensitive readers, date rape, slutshaming, trigger warning, visual harassment, safe rooms… Le nouveau féminisme universitaire, nourri à l’idéologie du genre et aux thèses de l’intersectionnalité, est celui qui, aujourd’hui, décroche les toiles de maîtres des grands musées sous prétexte de lutte contre le sexisme, celui qui soumet les étudiants à des contrats écrits préalablement à toute tentative de flirt, celui qui veut rendre la langue inclusive pour mieux désexualiser les rapports humains, celui qui voit une expression de « paternalisme lubrique » derrière chaque mot d’esprit un peu leste, celui qui amalgame systématiquement hétérosexualité et viol, celui qui pathologise le désir masculin et qui voudrait abattre la galanterie, la séduction et le principe même de la différence des sexes. David L’Epée a terminé son intervention en proposant quelques pistes philosophiques qui pourraient constituer une offensive contre la vision du monde répressive et puritaine du néo-féminisme. En s’appuyant sur la phénoménologie, il a appelé à un retour en grâce d’une vision différentialiste, dans une optique d’épanouissement commun et de complémentarité, rappelant qu’il a toujours existé au cours des siècles, sous des formes différentes, une spécificité française du vivre-ensemble des sexes. Seule une réconciliation des modernes avec la nature (celle de l’écosystème comme celle de nos corps et de nos identités sexuées) permettra selon lui de sortir par le haut de cette artificielle et dommageable guerre des sexes.

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Classé dans Conférences, Féminisme, Philosophie, Polémiques, Vidéos