Maurice Bavaud, l’homme qui s’est risqué à la verticalité

« La seule chose qui m’importe, c’est l’immortalité de l’âme. » C’est la phrase qu’on peut lire au pied du monument énigmatique et très peu figuratif qui se dresse, depuis le 13 mai dernier à Hauterive, devant le Latenium, au bord du lac de Neuchâtel. On ne peut s’empêcher de penser, devant cette citation, à cette pensée de Robespierre : « Un grand homme, un véritable héros, s’estime trop lui-même pour se complaire dans l’idée de son anéantissement. » L’homme pour lequel on a dressé cette œuvre commémorative était en effet en héros, mais il n’est pas sûr qu’il en ait bien eu conscience. Cet homme, c’était Maurice Bavaud, jeune Neuchâtelois qui, à l’âge de 21 ans, partit pour Münich dans l’idée d’assassiner Hitler. C’était le jour qui devait précéder la Nuit de Cristal.

°

Cliquez pour lire l’article !

°

 

Poster un commentaire

Classé dans Histoire, Suisse

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s