François Gross n’aime pas les souverainistes

Depuis toujours, les élites ont eu des réticences à composer avec la démocratie, et si elles ont bien du se faire à un fonctionnement d’état républicain, c’est après avoir dépouillé autant que possible de ses pouvoirs de décision réels. Ces élites n’ont plus que le mot de « gouvernance » à la bouche, néologisme d’origine américaine qui exprime une sorte de gestion politique inspirée de l’entreprise privée et dans laquelle le peuple est progressivement écarté des affaires publiques. A l’heure de la mondialisation, la résistance démocratique à des décisions prises parfois à des centaines ou des milliers de kilomètres de chez nous par des individus ignorant tout de nos conditions de vie passe par la revendication des souverainetés nationales et populaires, car elles seules peuvent nous garantir ce que Wilson appelait « le droit des peuples à disposer d’eux- mêmes ».

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Gross

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Classé dans Polémiques, Suisse

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